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Sauli PELTONIEMI, qui est installateur chez Best-Hall depuis plus de 40 ans, considère le rendu final comme la priorité pour son travail. L'installation 100 % réussie est une garantie pour la sécurité mais aussi pour la qualité.
Sauli Peltoniemi fait partie de l'équipe d'installation de 10 à 15 personnes qui fait le tour des chantiers pour ériger les halls. Pour les halls plus compacts, on commence par fixer les ancres dans le goudron ; pour les hangars, les « ancreurs » utilisent des broches d'1 mètres 20 cm pour enfoncer les plaques d'ancre dans le sol.
La charpente du hangar est d'abord assemblée sur le sol.
« Les structures en acier sont interconnectées pour former des packages de 3 ou 5 cercles, qui ensuite sont érigés à la grue mobile et attachés aux ancres. Les packages sont attachés les uns aux autres au niveau du faîtage et des coins, ensuite on les connecte tous, dit Peltoniemi.
Après avoir érigé la charpente, on installe la couverture en textile PVC. Le textile est remonté jusqu'à la crête, ensuite il est répandu des deux côtés de la charpente, avec des traits.
Même s'il y a beaucoup de phases différentes, le hangar à charpente métallique s'installe en l'espace de quelques jours. Toutes ces phases sont réalisées par une équipe de 2 à 4 installateurs.
Sécurité avant tout
Si la technique d'installation reste toujours le même, n'importe le type de hall à installer, Peltoniemi aime la variation de son travail.
« Comme je travaille à l'extérieur, la météo fait son effet. »
Le plus important pour lui, c'est de laisser une trace acceptable pour lui et pour le client. La sécurité d'un travail bien fait.
« Chacun des milliers de boulons doit être bien serré, le textile doit être tendu correctement. Chaque phase prendra son temps, mais c'est le résultat final qui compte.
Pour un hall de qualité, chaque détail importe. Ce qui plaît surtout à Peltoniemi, c'est que chez Best-Hall le travail évolue tout le temps, en coopérant.
« Les détails inventés à l'atelier font leur effet au chantier. Par exemple, c'est bien que les cordeaux à tirer soient visibles aux coins du textile, même en package, dit-il pour expliquer la modification d'emballage trouvée en commun.
C'est un travail physique qui demande une condition parfaite. Peltoniemi est vainqueur de « Kalevan kierros », et il reprend le sport d'orientation de temps en temps le soir.
« Même en déplacement, je vais sur place pour voir les lieux de sports locaux. »
L'installateur voyageur
Le travail d'installateur a ramené Sauli Peltoniemi, qui réside à Kokkola, partout dans le monde.
« Le plus souvent, l'équipe spécifique suit le package de charpente pour ériger le hangar. J'ai vu pratiquement toutes les communes finlandaises, et une grande partie de l'Europe centrale. Le site le plus exotique que j'ai visité, c'était sûrement les îles Féroé.
Peltoniemi est motivé de voir le hangar bien fait devant lui. Il pense qu'un chantier bien fonctionnel soutient également les ventes futures. Là aussi, l'installation d'un hall de padel qui s'élève à plus de 10 mètres semble attirer les gens locaux.
« Beaucoup de clients se décident après avoir vu le hall tout prêt. Là, c'est la qualité dont il a été fait qui fait la différence.
